Probleme in bezug auf das leben und den tod von Alexander Ypsilantis

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Constantinos A. Vacalopoulos

Abstract

Le travail est divisé dans trois parties. Dans la première partie l’auteur essaie de pénétrer dans les problèmes, qui restent encore à nos temps obscures. concernant surtout les premiers contacts de Alexandros Ypsilantis avec Capodistrias et Xanthos au mois de Février 1820. L’auteur traite ce sujet en se basant sur des sources principales. Dans la deuxième partie du travail l’auteur présente ses fruits des recherches aux Archives de Capodistrias à Corfou. Au début il publie une lettre iné­ dite, qui est écrite par Alexandros Ypsilantis le 19 Août 1827 pendant la période qu’il fut emprisonné à Theresienstadt. Cette lettre parle d’une «bienfaisante amie», qu’on peut identifier avec la personne de la contesse Lulu Thiirheim. L’auteur essaie de combiner les informations précieuses de cette lettre avec deux autres lettres inédites. La première est écrite par la main de Lulu Thürheim à Vienne le 14 Février 1828 à Jean Capodistrias. D’après cette lettre Thürheim remarque que la mort survenue de Alexandros Ypsilantis est causée d’une maladie qui provenait uniquement du chagrin. A la fin elle prie Capodistrias, se trouvant à cette époque à la place du premier Gouverneur de la Grèce, de restituer la mémoire et la réputation que méritait Ypsilantis. Effectivement Capodistrias en répondant à cette lettre de Lulu Thürheim a fait au début une déscription de la triste situation, il se trouvait en écrivant: «Si la vie dans ce bas monde est une route bien sombre, bien triste et entourée de tombeaux, la mienne dans ce pays l’est aussi de ruines, de misères et de besoins, dont la nature et la nombre ne se laissent pas exprimer». A la fin de sa lettre il a promis à Lulu Thürheim de rendre justice à la mémoire du prince Ypsilantis. La troisième partie du travail est consacrée aux recherches concernant les contacts de Lassanis, ami fidèle de Ypsilantis, et les soeurs Thürheim. Les nouveaux éléments proviennent des lettres inédites, qui se trouvent à la Bibliothèque du Parlement à Athènes. C’est une période chronique qui se passe après la mort de Ypsilantis.



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